Nous sommes allés à Corbier pour deux nuits à la fin du mois de mai et mon copain m’a lancé trois défis sexuels. Dans le dernier article je vous partageais un sextoy et toy masturbation à Carcassonne. Si nous restons plus de 30 minutes à l’hôtel, je relève le défi coquin de porter des sous-vêtements ! JOUR 1 : costume ouvert rouge et sexe dans la chambre Nous sommes retournés à l’appartement pour nous détendre et coudre des choses avec des boutons de rose dans un petit village du Corbier. Nous sommes fatigués de la route, mais pas assez pour ne pas avoir envie de nous amuser. Mon homme veut vraiment profiter de sa période de deux semaines pour m’utiliser et abuser… au plus grand plaisir pour nous deux ! Je portais un costume ouvert rouge avec des cœurs pleins d’amour. Dès que nous sommes restés plus d’une demi-heure dans la chambre, on m’a demandé de mettre des sous-vêtements. J’en ai pris trois dans ma valise au cas où on arriverait à faire une photo coquine. je suis inspiré ! MrSirban connaît très bien mes habitudes de déplacements… Saperlipopette ! Je suis vraiment prévisible ! Avec des poses invitantes, elle m’a demandé de m’approcher. Il serre mon pubis entre ses doigts et me masturbe le clitoris sans contact direct. Je suis très sensible à ce domaine qui demande tact et délicatesse. Je veux vraiment qu’il me prenne. Le désir est fort. Quand il pointe le pouf sous le lit, je me rends compte qu’il va me baiser en levrette. Mon homme me dépasse. Ses mains attrapent mes chevilles, ses poings frappent mes hanches, ses mots sont crus… Il attrape mes poignets et me plie comme un animal sauvage. Je suis au septième ciel et j’étouffe mon orgasme avec ma tête cachée dans le lit. J’aime sentir son pénis aller et venir pendant le sexe hard. Nouvelle extase ! MrSirban n’a pas envie de s’amuser et repart à la bourre. La vidéo de nos ébats est, comme d’habitude, en fin d’article. Après le confort, nous prenons un bon bain romantique avant d’entrer dans le restaurant et d’essayer d’autres types de nourriture. Nous sommes vivants, nous aimons les bonnes choses de la vie. Le lendemain on change de chambre ! JOUR 2: sous-vêtements luxueux et érotisme dans la chambre Après une longue marche dans la cité médiévale et une masturbation de masse avec un jouet sexuel jusqu’à l’orgasme, nous avons beaucoup de jambes. Nous avons besoin de nous reposer un moment. Je me précipite d’abord vers la douche, puis quand mon Aimé prend le sien, j’en profite pour enfiler un très beau sous-vêtement en dentelle orné de papillons. J’avais montré à mon homme vénitien ses incroyables sous-vêtements, mais nous n’avions pas pris de photos. Nous ne partageons que quelques instants, mais la plupart restent privés. Il se perd un peu lors de la prise de vue. Une fois, vous avez remarqué que M. Sirban s’est mis au jeu et a accepté d’être photographié ! Il confirme sur chacune des photos qu’il n’aime pas passer de l’autre côté de l’objectif. Je suis émerveillé par la vue depuis la chambre, je vois des gens se promener. Peuvent-ils nous voir aussi ? Un spectacle coquin comme celui-ci est toujours excitant car on ne sait jamais si on a été vu ou pas. De ce soupçon subtil naît un délicieux mélange d’excitation et d’interrogation. J’ai toujours aimé être nue sur le balcon ou en sous-vêtements devant la fenêtre. De plus en plus de postes sont proposés. On se dévoile plus vite, on se charme, on flirte… on s’échauffe. La tension sexuelle monte progressivement et se fait sentir dans la chambre. On a vraiment envie l’un de l’autre, mais après avoir fini la série, on a laissé le désir nous chauffer. Le salut ne fait que s’améliorer ! Nous essayons la fameuse Blanquette de Limoux – excuses aux locaux et aux autres amateurs de boissons, mais… M. Sirban et moi l’apprécions tous les deux ! C’est une question de goût, et nous n’aimons déjà pas le champagne. ça allait mal ! Mon homme préfère les vins légers et fruités, moi je préfère les rouges tanniques (Malbec, Meursault, Châteauneuf du Pape, Grave…). MrSirban a fini la pipe, je vais boire une gorgée de courtoisie ! Je profite à nouveau de sa brève absence – elle fait un peu pipi – pour lui envoyer un message non subliminal lorsqu’elle revient de la salle de bain. Le canapé est bien cambré, les cuisses ouvertes et prêtes à l’accueillir. C’est tellement évident, c’est “Baise-moi maintenant!” ! Nous n’avons pas pris de photo, nous y avons brièvement réfléchi, mais nous n’avons pas pu arrêter l’excitation alors que nous cherchions où mettre le téléphone pour un bon angle de vue ! Il me prend très tonique. Ses tirs sont nets et précis. Il va me déchirer ! Il boit une gorgée de Blanquette. J’arrête de jouer de la flûte, baisse l’alcool jusqu’à ma taille comme un chien plein et verse le verre sur mon épaule. Un miracle! Je vise vraiment bien et mon cambre absorbe du liquide comme un petit lac, ce qui m’excite. Une poussée musclée répandit le sperme sur mes fesses puis dans ma chatte. Je suis accro à l’alcool. Il pique secrètement les muqueuses. Mon copain a peur de me mettre en colère et préfère se retirer. Assise dans le fauteuil, j’excite mon homme avec la pipe encore partiellement remplie. Pendant qu’il masturbe mes nylons, je me caresse et verse de l’alcool sur sa poitrine, qui traverse mon sexe. Je me frotte le torse et la chatte avec cette boisson, je dis du mal à monsieur Sirban. Ça sent la vinasse. Ma peau est imbibée d’alcool. Nous avons juste baisé sauvagement. C’est sale, sexuel et animal. Nous sommes dans un état d’excitation phénoménal. On lâche totalement prise ! Au sommet de la stupeur et de la luxure ! Quand mon amant éjacule, je prélève du sperme dans le verre pour boire le reste de la Blanquette de Limoux parfumée au sperme. Après ce moment physique SEXUEL, nous avons pris un bon bain pour nous détendre de cette débauche. Nous sommes toujours très excités! Ensuite nous avons pris un apéritif au bar et un délicieux Cassoulet de Castelnaudary pour se ressourcer. Le lendemain est le jour du départ. Notre séjour au Corbier a été très sexuel… en couple ! Des difficultés dans les relations sexuelles l’ont réveillé avec érotisme et absurdité. Nous étions en ébullition !